Ce sont de vieux textes que je viens de retrouver sur un vieux blog que j'ai laissé à l'abandon depuis près de 8 ans.
Je lui faisais l'amour.
Dans cette spirale incrédule, ce songe qui s'efface ne peut-être oublié...
C'est toujours avec douleur que l'on s'extirpe de la moiteur de son profond sommeil et de son univers intemporel.
Et cette même souffrance parfois, toute la journée nous poursuit...
Dans un éblouissant fracas, alors que j'en étais là, les éclairs frappaient juste au dessus de ma tête.
C'était il y a plus de dix ans, je ne m'inquiétait pas alors, d'aujourd'hui.
Aujourd'hui ce même rêve m'est revenu, plus vibrant, plus enclin au gigantisme sentimental, il est revenu...
Je lui faisais l'amour,
Je lui faisais tendrement l'amour,
L'ont peut aisément faire tendrement l'amour tout en faisant preuve de fougue et de passion quoi que les bien pensants en disent.
De fait, ce n'est pas un acte qui se pratique sur une seule note, c'est plutôt une composition des plus alambiquées.
Et au cœur de cette moite béatitude, qui sont les soldats qui restent dans les rangs..?
Nous faisions l'amour avec toute la tendresse que la fougue de nos corps, glissant l'un contre l'autre, baignés de sueurs et de désirs, nous offraient en partage.
Comme sur un champs de bataille, la victoire ne vaut que par la hargne vindicative de l'adversaire, les miasmes de l'amour ne valent que par le partage de la domination, les renversements de situation, les prises de chaires se doivent la violence de l'amour, au moins charnel, partagés par les intriguants de l'affaire.
Nous affrontions nos sexes, et alors que je n'en pouvais plus, mon corps se disloqua, le vacarme fût assourdissant lorsque ma tête implosa...
Le silence...
Les yeux grands ouverts sur une blancheur qui ne devait avoir de limite.
Je revins à la vie, me réveillant, voulant mourir tant que je ne lui ferais pas à nouveau l'amour.
***
Je lui faisais l'amour,
Je lui faisais tendrement l'amour,
Nous faisions l'amour avec toute la tendresse que la fougue de nos corps, glissant l'un contre l'autre, baignés de sueurs et de désirs, nous offraient en partage,
Nous affrontions nos sexes, et alors que je n'en pouvais plus, mon corps se disloqua, le vacarme fût assourdissant lorsque ma tête implosa...
Le silence...
Les yeux grands ouverts sur une blancheur qui ne devait avoir de limite,
Je revins à la vie, me réveillant, voulant mourir tant que je ne lui ferais pas à nouveau l'amour.
***
Théorie de relativisation amoureuse.
De l'amour,
L'amour est un principe bien plus qu'une substance.
Il est un ensemble de principes qui lient entres eux des éléments sentimentaux, entres-autres, de manière substantielle.
Que je soit pendu si l'amour pouvait se résumer dans un seul acte, une seule simple pensée, foutaise!
Par définition, les simples sentiments, n'amènent point plus qu'affection, voir parfois guère plus qu'amitié, il en faut bien plus pour se sentir "qu'un" à deux...
La haine, elle, bien plus simple dans sa trame, flirtant inlassablement avec l'amour ne pourrait courber l'échine devant un si faible adversaire.
La lassitude quand à elle, c'est hélas bien prouvé, en vient sans fastes à y mettre fin dans une multitude des cas observés.
Le candidat suivant, fidèle à lui-même, me harcèle pour qu'enfin je l'évoque, car de tous il est probablement la clef de voûte qui maintient notre principe, qui sans cela s'écroulerait dans un fracas qui nous évoque bien des choses.
J'ai nommé, l'attirance physique!
Là, j’entends déjà les protestations, qui jusque là étaient à peine retenues, mais ne peuvent maintenant se taire.
La règle universelle dit que nous correspondons tous, quelque soit notre aspect physique, au goûts d'un échantillons d'individus du sexe opposés, ce qui nous débarrasserait une fois pour toutes des canons de beauté décidés bien souvent par d'autres que nous...
"Aillez la gentillesse de ne pas moutonner en ces lieux messieurs dames !"
Donc, l'attirance physique, si je ne me trompe pas, fonctionne sur le principe des phéromones, c'est une réaction chimique qui voile nos yeux pour s'y substituer, nous entraînant ainsi, bien souvent à avoir un comportement contre nature.
La nôtre j’entends!
Bien entendu les corps se fanes, la source phéromonale se tari, et par la même occasion, la connerie humaine aidant au manque d'affection, c'est bien souvent dans le caniveau que finissent les histoire qui ne s'appuient sur rien d'autres...
Pour abréger, je rajouterais la complicité, suivie de la volonté ainsi que d'autres comme la fidélité et j'en passe...
N'ai crainte mon amour, en ce qui me concerne rien de tout ça, nous sommes fait pour durer !
Je ne t'aime que pour le sexe.
***
Parfois j'écris sur des sujets qui ne portent pas sur le cul, sisi :
(Quelques semaine avant de rencontrer ma femme, j'écrivais ça)
Moment, profondeur de l'animal.
Tous les jours dans la rue je regarde autour de moi et ce que je vois, tour a tour, me désole, me ravis, me rend heureux et parfois me révolte.
J'aime passer du temps à regarder la façon qu'ont les gens d'évoluer dans la rue, c'est une grande exposition la rue, il s'y passe "la vie", la vraie, pas celle dont ont rêve mais celle qui peut parfois être pire, et parfois bien mieux que les rêves.
Je rêve énormément mais je ne rêve pas d'un monde meilleur, je rêve simplement et j'évolue dans un univers que seul certains fous connaissent, une sorte d'heroic fantasy, avec des scènes tirées des meilleurs thrillers, un huis clos avec les tourbillons de ma pensée, l'apocalypse des mots qui s'entrechoquent dans les limbes de l'esprit, là où évoluent des personnages atypiques et informes comme d'innombrables neurones qui jouent à des jeux de guerres.
"La folie est si proche qu'on la frôle à longueur de temps, elle est comme la mort, un compagnon dont il faut s'accommoder, une ombre au dessus de nos têtes..."
Et là j’apprends que dans le monde de très graves choses se passent, il y a des guerres, la moitié de ceux qui en mourront ne savent même pas pourquoi ils se sont battus, pourquoi n'ont-ils pas fuit??
Pourquoi ne se sont ils pas révoltés contre cette violence???
Et si une masse refusait la guerre dans laquelle ont vient de l'enrôler de force, y aurait-il une guerre??
Même faute de combattant ??
L'homme ne réfléchis pas, il a peur de parler et il meurt, il meurt d'avoir été trop couillon pour montrer qu'il avait peur,
Un héros, ce n'est peut-être qu'une autruche qui a peur de ne pas se battre et de ce qu'ont va penser de lui !
Il devient un assassin par procuration, la main vengeresse est une main tremblante...
J'aime à penser que je ne partirais pas sur le front pour défendre un pays, je préfère rester auprès des miens, les emmener loin du danger.
Mais en fait je suis comme tout le monde, je ferais probablement l'autruche si j'étais confronté à la guerre, je suis peut être un couillon aussi....
(J'ai enlevé la suite, trop personnelle).
Je lui faisais l'amour.
Dans cette spirale incrédule, ce songe qui s'efface ne peut-être oublié...
C'est toujours avec douleur que l'on s'extirpe de la moiteur de son profond sommeil et de son univers intemporel.
Et cette même souffrance parfois, toute la journée nous poursuit...
Dans un éblouissant fracas, alors que j'en étais là, les éclairs frappaient juste au dessus de ma tête.
C'était il y a plus de dix ans, je ne m'inquiétait pas alors, d'aujourd'hui.
Aujourd'hui ce même rêve m'est revenu, plus vibrant, plus enclin au gigantisme sentimental, il est revenu...
Je lui faisais l'amour,
Je lui faisais tendrement l'amour,
L'ont peut aisément faire tendrement l'amour tout en faisant preuve de fougue et de passion quoi que les bien pensants en disent.
De fait, ce n'est pas un acte qui se pratique sur une seule note, c'est plutôt une composition des plus alambiquées.
Et au cœur de cette moite béatitude, qui sont les soldats qui restent dans les rangs..?
Nous faisions l'amour avec toute la tendresse que la fougue de nos corps, glissant l'un contre l'autre, baignés de sueurs et de désirs, nous offraient en partage.
Comme sur un champs de bataille, la victoire ne vaut que par la hargne vindicative de l'adversaire, les miasmes de l'amour ne valent que par le partage de la domination, les renversements de situation, les prises de chaires se doivent la violence de l'amour, au moins charnel, partagés par les intriguants de l'affaire.
Nous affrontions nos sexes, et alors que je n'en pouvais plus, mon corps se disloqua, le vacarme fût assourdissant lorsque ma tête implosa...
Le silence...
Les yeux grands ouverts sur une blancheur qui ne devait avoir de limite.
Je revins à la vie, me réveillant, voulant mourir tant que je ne lui ferais pas à nouveau l'amour.
***
Je lui faisais l'amour,
Je lui faisais tendrement l'amour,
Nous faisions l'amour avec toute la tendresse que la fougue de nos corps, glissant l'un contre l'autre, baignés de sueurs et de désirs, nous offraient en partage,
Nous affrontions nos sexes, et alors que je n'en pouvais plus, mon corps se disloqua, le vacarme fût assourdissant lorsque ma tête implosa...
Le silence...
Les yeux grands ouverts sur une blancheur qui ne devait avoir de limite,
Je revins à la vie, me réveillant, voulant mourir tant que je ne lui ferais pas à nouveau l'amour.
***
Théorie de relativisation amoureuse.
De l'amour,
L'amour est un principe bien plus qu'une substance.
Il est un ensemble de principes qui lient entres eux des éléments sentimentaux, entres-autres, de manière substantielle.
Que je soit pendu si l'amour pouvait se résumer dans un seul acte, une seule simple pensée, foutaise!
Par définition, les simples sentiments, n'amènent point plus qu'affection, voir parfois guère plus qu'amitié, il en faut bien plus pour se sentir "qu'un" à deux...
La haine, elle, bien plus simple dans sa trame, flirtant inlassablement avec l'amour ne pourrait courber l'échine devant un si faible adversaire.
La lassitude quand à elle, c'est hélas bien prouvé, en vient sans fastes à y mettre fin dans une multitude des cas observés.
Le candidat suivant, fidèle à lui-même, me harcèle pour qu'enfin je l'évoque, car de tous il est probablement la clef de voûte qui maintient notre principe, qui sans cela s'écroulerait dans un fracas qui nous évoque bien des choses.
J'ai nommé, l'attirance physique!
Là, j’entends déjà les protestations, qui jusque là étaient à peine retenues, mais ne peuvent maintenant se taire.
La règle universelle dit que nous correspondons tous, quelque soit notre aspect physique, au goûts d'un échantillons d'individus du sexe opposés, ce qui nous débarrasserait une fois pour toutes des canons de beauté décidés bien souvent par d'autres que nous...
"Aillez la gentillesse de ne pas moutonner en ces lieux messieurs dames !"
Donc, l'attirance physique, si je ne me trompe pas, fonctionne sur le principe des phéromones, c'est une réaction chimique qui voile nos yeux pour s'y substituer, nous entraînant ainsi, bien souvent à avoir un comportement contre nature.
La nôtre j’entends!
Bien entendu les corps se fanes, la source phéromonale se tari, et par la même occasion, la connerie humaine aidant au manque d'affection, c'est bien souvent dans le caniveau que finissent les histoire qui ne s'appuient sur rien d'autres...
Pour abréger, je rajouterais la complicité, suivie de la volonté ainsi que d'autres comme la fidélité et j'en passe...
N'ai crainte mon amour, en ce qui me concerne rien de tout ça, nous sommes fait pour durer !
Je ne t'aime que pour le sexe.
***
Parfois j'écris sur des sujets qui ne portent pas sur le cul, sisi :
(Quelques semaine avant de rencontrer ma femme, j'écrivais ça)
Moment, profondeur de l'animal.
Tous les jours dans la rue je regarde autour de moi et ce que je vois, tour a tour, me désole, me ravis, me rend heureux et parfois me révolte.
J'aime passer du temps à regarder la façon qu'ont les gens d'évoluer dans la rue, c'est une grande exposition la rue, il s'y passe "la vie", la vraie, pas celle dont ont rêve mais celle qui peut parfois être pire, et parfois bien mieux que les rêves.
Je rêve énormément mais je ne rêve pas d'un monde meilleur, je rêve simplement et j'évolue dans un univers que seul certains fous connaissent, une sorte d'heroic fantasy, avec des scènes tirées des meilleurs thrillers, un huis clos avec les tourbillons de ma pensée, l'apocalypse des mots qui s'entrechoquent dans les limbes de l'esprit, là où évoluent des personnages atypiques et informes comme d'innombrables neurones qui jouent à des jeux de guerres.
"La folie est si proche qu'on la frôle à longueur de temps, elle est comme la mort, un compagnon dont il faut s'accommoder, une ombre au dessus de nos têtes..."
Et là j’apprends que dans le monde de très graves choses se passent, il y a des guerres, la moitié de ceux qui en mourront ne savent même pas pourquoi ils se sont battus, pourquoi n'ont-ils pas fuit??
Pourquoi ne se sont ils pas révoltés contre cette violence???
Et si une masse refusait la guerre dans laquelle ont vient de l'enrôler de force, y aurait-il une guerre??
Même faute de combattant ??
L'homme ne réfléchis pas, il a peur de parler et il meurt, il meurt d'avoir été trop couillon pour montrer qu'il avait peur,
Un héros, ce n'est peut-être qu'une autruche qui a peur de ne pas se battre et de ce qu'ont va penser de lui !
Il devient un assassin par procuration, la main vengeresse est une main tremblante...
J'aime à penser que je ne partirais pas sur le front pour défendre un pays, je préfère rester auprès des miens, les emmener loin du danger.
Mais en fait je suis comme tout le monde, je ferais probablement l'autruche si j'étais confronté à la guerre, je suis peut être un couillon aussi....
(J'ai enlevé la suite, trop personnelle).
Dernière édition par Amanwithoutmind le Mar 28 Fév - 15:08, édité 3 fois